Constructrices de futur, vers une culture de la non-violence II

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Constructrices de futur, vers une culture de la non-violence II

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Constructrices de futur, vers une culture de la non-violence II

18 avril 2021

Sandra Ramírez
Son vrai nom est Griselda Lobo. Fille d’une famille de paysans, elle a rejoint les FARC à l’âge de 17 ans ; avec eux, elle a travaillé comme infirmière et dans les communications ; pendant 23 ans, elle a été la compagne de Manuel Marulanda Vélez, le plus haut commandant des FARC et un homme qui a mis le pays face à ses propres contradictions. L’une des femmes constructrices et signataires de l’Accord de Paix, Sandra Ramirez est aujourd’hui la 2ème vice-présidente du Congrès colombien. Sandra est un parfait exemple de la raison pour laquelle la paix et la réconciliation sont possibles. Ecouter l’entretien

Claudia Salé
Humaniste et militante de la non-violence depuis trente ans, Claudia Salé est née en Italie mais vit en France depuis des décennies. Toujours sensible au sujet des femmes et de leur contribution à l’histoire, elle nous fait revivre l’histoire de certaines femmes mystiques et intellectuelles en Europe aux XIIe et XIIIe siècles, dont beaucoup de béguines dans sa monographie ‘La mystique féminine dans la région Rhéno-flamande (XIIe et XIIIe siècle)‘. Ecouter l’entretien

María Teresa Vicente Giménez 
Juriste, professeure de Philosophie du Droit et directrice de la chaire des droits humains et de la Nature à l’université de Murcie, est également membre de Femmes pour la Justice Climatique. Avec d’autres, elle promeut l’Initiative de législation populaire (ILP) pour une Personnalité Juridique pour la Mar Menor [N.d.T. Mar Menor : Mer Mineure au sud-est de Murcie en Espagne]. Activiste depuis son plus jeune âge elle a travaillé en tant que telle dans le domaine juridique pour différentes causes, comme celles des personnes touchées par les hypothèques. Ecouter l’entretien

Lupita Vásquez
Survivante du massacre d’Acteal (Chiapas), au cours duquel elle a perdu ses parents et cinq de ses frères et sœurs, et où 45 personnes ont été tuées par un groupe de paramilitaires alors qu’elles priaient dans l’église où elles s’étaient réfugiées. Depuis lors, avec sa communauté Las Abejas de Acteal, elle n’a cessé de réclamer justice pour ce qu’elles considèrent comme un « crime contre l’humanité », tenant l’État mexicain pour responsable de tels actes. 23 ans plus tard, l’affaire est devant la Cour interaméricaine des Droits humains. Lupita est la première femme à être élue au Conseil National Indigène du Mexique. Elle est un exemple de rébellion et de lutte, de construction non violente. Ecouter l’entretien

Djamila Andrade
Certaines quêtes ont accompagné l’humaniste mozambicaine Djamila Andrade tout au long de sa vie : l’égalité des chances pour tous, le dépassement de la souffrance et la connexion et l’approfondissement du sens transcendantal de la vie.  Ecouter l’entretien


Maria Khan

Maria a vécu le processus de son époque, lorsque les mouvements universitaires se sont rebellés contre l’impérialisme et la violence dictatoriale dans son pays natal, les Philippines, pour se développer dans le domaine de la lutte pour le droit humain à l’éducation. Elle a assumé de plus en plus de positions à l’échelle régionale et globale, jusqu’à ce qu’elle comprenne que le monde d’aujourd’hui est unique et qu’il doit être inclusif afin de progresser vers une Nation humaine universelle. Ecouter l’entretien

 

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