Véronique Bonnet

Pour rendre compte de la notion de violence, l’auteur emprunte successivement trois entrées.
? Celle de la théorie, faisant du processus de la violence l’objet d’une enquête.
? Celle de la pratique, faisant de la violence ce qui est visé comme moyen ou comme fin, par des impulsions naturelles ou des calculs.
? Enfin, celui du ressenti, puisque, si la violence fait mal, la douleur qu’elle irrigue est parfois niée par des discours esthétiques troubles.
La forme de la dissertation de culture générale est choisie ici pour que les lecteurs puissent avoir, pour chaque problématique, idée de la dynamique argumentative qui sera attendue d’eux lorsqu’ils auront à faire leurs preuves dans les différents concours. Un plan initial et détaillé de l’ouvrage, dissertation par dissertation, permet au préparationnaire d’y retrouver facilement les références philosophiques, littéraires, picturales, qui se trouvent mises en œuvre pour tel ou tel état de l’hypothèse. En fin d’ouvrage, une sélection de sujets permet d’actualiser autrement les repères acquis et une bibliographie des textes rencontrés renvoie plus amplement à la source des occurrences proposées.

Édition Studyrama, 2023

Véronique BONNET est ancienne élève de l’École Normale Supérieure, agrégée de philosophie, professeur de chaire supérieure en EC première et seconde année au lycée Janson de Sailly à Paris. Elle a réalisé, pour le même éditeur, d’autres recueils de dissertation pour le programme de EC, depuis 2010.