Anne-Bénédicte HOFFNER
08/01/2020
Directeur du département de français de l’université de Gaza, le Palestinien Ziad Medoukh apprend aussi à ses étudiants les armes de la non-violence. « Mes poèmes ne soulagent point nos peines, mais ma poésie défend la vie./Elle est elle-même une résistance ! » Dès qu’il trouve un moment de calme, c’est en vers et en français que Ziad Medoukh s’échappe de Gaza, étroite bande de terre palestinienne, coincée entre la Méditerranée et les barbelés israéliens. « Je compose mes poèmes de Gaza ma prison :/Gaza est l’âme libre du poète/Gaza est le sourire brûlant des innocents/Gaza est l’étoile magique de l’espoir/Qui trouve dans la poésie l’échappatoire/Nécessaire à sa survie ». Lire l’article publié sur le site La Croix