Josée BLANCHETTE
27/09/2019
J’ai donné congé de classe à mon ado aujourd’hui. Il a l’âge de Greta Thunberg (Savez ? La version tragique de Fifi Brindacier). À 16 ans, il parvient à ce moment charnière de sa vie où tu ne veux plus te faire raconter d’histoires. On peut mentir à un enfant, embobiner un adulte, mais pas un ado. La perte de l’innocence s’accompagne d’une ferveur et d’une quête de sens difficilement conciliables avec les faux-fuyants. Lire l’article publié sur le site Ledevoir