Alain REFALO
18/03/2018
Aujourd’hui encore, c’est souvent l’expression « résistance passive » qui est utilisée par les médias, et parfois par des associations, pour nommer un mouvement de résistance non-violente ou de désobéissance civile. Pourtant, cette expression ancienne, à forte connotation péjorative, comprend une contradiction irréductible : comment une résistance peut-elle être passive, alors que l’idée de résistance implique l’action ? Il semble bien que seule la résistance armée ou violente, pour l’idéologie dominante, puisse être considérée comme une résistance réellement active. Un petit retour en arrière permet de situer les enjeux de cette expression que Gandhi a lui-même utilisée avant de l’abandonner dès 1908… Lire l’article publié sur le blog d’Alain Refalo