Lisette GRIES
27/04/2020
Le confinement cristallise tensions et frictions. La Journée internationale de la non-violence éducative, le 30 avril, offre l’occasion d’interroger nos fonctionnements familiaux. Grâce à la réflexion et à l’expérimentation, les parents pourront cheminer vers une éducation plus respectueuse, même dans le cadre d’une crise exceptionnelle. « L’autorité parentale s’exerce sans violence physique ou psychologique », énonce le texte de loi contre les violences éducatives ordinaires (VEO), plus connu sous le nom de « loi anti-fessée », ratifié le 11 juillet dernier. Promiscuité, gestion des émotions, déficit de liens sociaux… l’éducation non-violente se confronte à des obstacles inédits ces derniers temps. Lire l’article publié sur le site La vie