Cristophe Mutaka, coordonnateur du groupe Martin Luther King basé à Goma (Nord-Kivu) estime que « le pardon et la réconciliation, en même temps qu’ils cicatrisent de douloureuses mémoires, constituent un préalable pour une paix durable ». Il l’a dit en marge de la commémoration de la Journée internationale de la paix, célébrée le 21 septembre de chaque année.