Dans ce moment historique, des courants émergent et dénoncent la violence sans en faire usage eux-mêmes, que ce soit dans les luttes d’émancipation homme/femme, dans celles du rapport capital-travail ou encore celles contre la verticalité des pouvoirs. Comment se fait-il alors que très peu de voix s’expriment sur cette violence pourtant manifeste qu’est la guerre ? Alors que celle-ci a de nouveau éclaté sur le territoire européen, en Ukraine, avec un risque accru de nucléarisation du conflit, nous sommes étonnés par le silence apathique de la population française, et à priori européenne.