La part d’ange en nous « Histoire de la violence et de son déclin »

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La part d’ange en nous « Histoire de la violence et de son déclin »

Steven Pinker.

L’épopée de l’humanité racontée par un des plus grands scientifiques mondiaux : un livre majeur, qui redonne foi en notre espèce. Aussi incroyable que cela paraisse, nous vivons l’époque la moins violente et la plus paisible de toute l’histoire de l’humanité. S’appuyant sur des milliers d’études, plus de trente années de recherche et des statistiques incontestables, Steven Pinker montre que, malgré le terrorisme, malgré les conflits contemporains, la violence n’a cessé de diminuer dans le monde au cours des siècles. Ce livre au carrefour de la psychologie et de l’histoire a été traduit dans dix-sept pays et acclamé par les plus grandes universités du monde.

Editions les arènes, Paris, 2017

Steven Pinker, professeur de psychologie à l’Université Harvard, spécialisé dans la recherche sur la cognition et la psychologie du langage. En 2004, il a été désigné comme l’une des cent personnes les plus influentes par le magazine Time.

NOTE DE L’OBSERVATOIRE : malgré la quantité impressionnante d’informations livrées dans cet ouvrage et étant donné la référence qu’il représente aujourd’hui dans la société, nous attirons l’attention sur le recul qu’il est nécessaire d’adopter à sa lecture. Voici quelques éléments qui ont attiré notre attention : le livre est essentiellement axé sur la violence physique, les données et les arguments sur la violence de nos ancêtres sont faibles et peu convaincants, les nombreuses analyses statistiques sur lesquelles repose essentiellement l’ouvrage donnent souvent lieu à des interprétations dépourvues de contexte, notamment socioculturel, l’oubli significatif de la plus grande des sources de souffrance du monde actuel, à savoir la violence économique enlève toute crédibilité à l’idée que le monde est moins violent qu’hier. Nous allons davantage dans le sens de l’historien François Cusset qui dans son récent ouvrage « Le déchaînement du monde » présente la violence comme ayant changé de visage.

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