Par Guillaume Gamblin.
Alain Refalo, avec le MAN, vous avez travaillé sur les stratégies civiles de résistance face à des lois injustes, mais aussi face à des régimes autoritaires ou illégitimes, en prenant entre autres appui sur des expériences de l’histoire et d’autres pays. Ces outils peuvent s’avérer précieux pour organiser la résistance en cas d’accession de l’extrême-droite au pouvoir. En quoi la non-coopération est-elle l’un des pivots de la stratégie de l’action non-violente ? Sur quelle analyse des mécanismes de la violence et de la domination s’appuie-t-elle ?
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