Dominique Henri BERTHÉ
9/11/2018
Je ne sais qui a dit qu’il fallait considérer la violence comme le moteur de l’Histoire. Il y a probablement d’autres « carburants » pour alimenter ce moteur, l’envie, le désir de puissance, la lutte des classes etc. On peut considérer cependant que l’Histoire est parcourue par une succession d’accès de violence qui rendent toute prévision aléatoire. Autant lire dans le marc de café. Hors les violences individuelles qui n’ont « d’intérêt » que si elles participent à l’écriture de l’Histoire, la violence a essentiellement 2 origines : politique et économique… Lire l’article publié sur le SIte Médiapart