Par Jean-Michel Bos.
Depuis janvier 2020, les violences politiques au Mali, au Burkina Faso et au Nigeront causé la mort de près de 50.000 personnes. C’est environ deux fois plus qu’en République démocratique du Congo, où la situation sécuritaire dans l’est du pays est pourtant dramatique. Dans le cas des trois pays du Sahel, la tragédie prend une dimension tristement ironique puisqu’entre 2020 et 2023, une succession de putschs a renversé les pouvoirs civils. Les militaires avaient alors justifié leur coup de force par la promesse de vaincre les groupes djihadistes qui prospèrent dans le Sahel.
Lire l’article-dossier complet publié sur le site dw.com