Par Alain Refalo,
Un manifeste viral, des banques sur la sellette et une action populaire capable de changer l’histoire. Avec No war : 47 jours d’espoir, Frédérique Damai signe un roman qui nous pousse à une question troublante : et si la paix dépendait de nous ? Voici une intrigue palpitante à même de faire trembler l’industrie de la guerre ! Cet été, j’ai dévoré No war, un roman publié chez L’Harmattan sous le pseudonyme de Frédérique Damai. Certains le classeraient rapidement dans la catégorie « pacifiste ». En réalité, c’est bien plus qu’un roman à thèse : c’est un récit haletant qui explore une question brûlante : et si les peuples pouvaient, par une action simple et non-violente, couper le robinet de la guerre ?