Claske DIJKEMA, Joachim BOUKDIR
01/07/2015
Les quartiers populaires sont devenus synonymes de violence ; une violence que l’on attribue aux jeunes et à l’immigration. Ces images reflètent les fantasmes de ceux qui n’y habitent pas, projettent notre peur de l’altérité, des jeunes en colère et d’un afflux des habitants « autres », que nous aurions du mal à comprendre. De plus, l’association entre les violences urbaines et l’immigration induit l’idée que ce phénomène provient de l’extérieur de notre société, qu’il y a été importé. Les solutions sont ensuite cherchées dans le domaine sécuritaire pour réprimer la violence. Lire l’article publié sur le site irénées