Il n’y a qu’un seul droit de l’homme

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Il n’y a qu’un seul droit de l’homme

Hannah Arendt.

10 décembre 1948 : les Nations unies adoptent la Déclaration universelle des droits de l’homme, qui se veut une réponse claire aux projets génocidaires et au problème des apatrides généré par la Seconde Guerre mondiale. Hannah Arendt réagit en publiant l’année suivante un essai où elle développe pour la première fois l’une de ses thèses les plus célèbres : le droit d’avoir des droits. C’est ce texte inédit en français que nous publions, précédé de « Nous réfugiés » (1943), ici dans une nouvelle traduction.

Payot, 2021

Hannah Arendt, née Johanna Arendt le 14 octobre 1906 à Linden, Hanovre (Allemagne) et morte le 4 décembre 1975 à New York (États-Unis), était une universitaire allemande naturalisée américaine connue pour ses travaux sur l’activité politique, le totalitarisme et la modernité d’un point de vue philosophique et historique. Souvent qualifiée de « philosophe », elle se désignait elle-même d’après sa profession : professeur de théorie politique, ou political theorist. Son refus de la philosophie est notamment évoqué dans Condition de l’homme moderne où elle considère que « la majeure partie de la philosophie politique depuis Platon s’interpréterait aisément comme une série d’essais en vue de découvrir les fondements théoriques et les moyens pratiques d’une évasion définitive de la politique. » Ses ouvrages sur le phénomène totalitaire sont étudiés dans le monde entier et sa pensée politique et philosophique occupent une place importante dans la réflexion contemporaine. Ses livres les plus célèbres sont Les Origines du totalitarisme (1951), Condition de l’homme moderne (1958) et La Crise de la culture (1961).
(Source Wikipédia)

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