« Ma plaie est guérie », confie à « L’Orient-Le Jour » le Zghortiote qui a perdu son frère et son neveu, victimes du massacre d’Ehden en 1978.
… Pour Merched Dahdah, la vengeance était hors de question. Il est vrai qu’au lendemain du massacre, le sentiment d’injustice et de haine a réussi à se frayer un chemin vers son cœur, mais il s’est aussitôt dissipé. « Mes parents nous ont bien élevés et nous n’avons pas hérité d’une haine aveugle des Bécharriotes », se félicite-t-il avant de poursuivre : « Bien au contraire, mon père ne cessait d’évoquer les amitiés qui le liaient à des gens de Bécharré. »… Lire l’article publié le 6/10/2018 sur le Site lorientlejour