Karine Gatelier, Claske DIJKEMA
2018
Quand ils traitent de la violence, les médias parlent souvent d’une seule forme de violence, celle qui met en jeu un rapport de force physique, qu’il concerne des biens matériels ou des personnes : attentats terroristes, assassinats, coups et blessures, dégradations de commerces en marge de manifestations de rue, voitures brûlées dans les banlieues, etc. C’est ce qu’on appelle la violence directe. Pour comprendre ses causes profondes, on a besoin d’analyser un autre type de violence : la violence structurelle. Lire l’article publié sur le site irénées