Les mutilations génitales : vestiges d’un passé qui ne peut plus exister dans le présent et (encore moins !) dans le futur

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Les mutilations génitales : vestiges d’un passé qui ne peut plus exister dans le présent et (encore moins !) dans le futur

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Les mutilations génitales : vestiges d’un passé qui ne peut plus exister dans le présent et (encore moins !) dans le futur

17 février 2022

Par Flavia Estevan (Brésil) et Karla Mijangos Fuentes (Mexique)

La mutilation génitale est une pratique encore exercée dans une trentaine de pays dans le monde. La majorité de ces pays se trouvent en Afrique et au Moyen-Orient mais cette coutume est également présente dans quelques pays en Asie et Amérique Latine. Le nombre de pays qui interdit la mutilation génitale et la considère comme un délit ne cesse de croitre. Dans certains pays, on la considère même comme un féminicide. Ce rituel largement condamné par la communauté internationale consiste à exciser des parties de la vulve (clitoris et / ou lèvres internes et / ou lèvres externes). Dans des cas plus extrêmes encore, on coud le canal vaginal et la vulve, ne laissant qu’un petit passage pour l’urine et le sang menstruel. Malgré tous les efforts d’organisations internationales de santé, de féministes et de défense des droits des femmes, on estime que 200 millions de femmes et jeunes filles ont été mutilées. Dans certains pays, plus de 90% de la population féminine a été mutilée.

Lire l’article publié sur Pressenza

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